Le conteur

Patrick s’est tourné vers le conte en 2012 alors qu’il cherchait du sens. À ce moment riche d’une dizaine d’années d’expérience en improvisation, il a découvert le conte à tâtons, en suivant les traces des quêteux avec qui il s’est étonné d’avoir beaucoup en commun.

« Et il y a eu l’histoire. Le conte. Ce coup de foudre. Raconter quelque chose qui n’appartient à personne, sinon à tout le monde. Le privilège d’être cet artisan qui porte un bien collectif un peu plus loin. Pour moi, le conte devient à la fois un véhicule pour jouer avec le sens, par l’humour ou la poésie, pour critiquer notre société ou souligner ce qu’elle a de meilleur; mais le conte est également ce passager duquel on doit prendre soin, le laisser parler, pour ne pas brouiller sa sagesse centenaire et toujours actuelle. »

Répertoire d’histoires longues (60 minutes):

« Dans mon sac, une dizaine d’histoires se partagent la route et forment un témoignage coloré de la Gaspésie des années 1800. Des histoires de pêcheurs, de diable, de quêteux; des faits réels et suréels; du qui fait rire, qui fait penser, mais toujours qui fait du bien. Puis à travers tout ce que ma mémoire raconte, il y a là où le conte me surprend encore: l’improvisation, à qui je fais une place précieuse, histoire que l’affaire reste vivante!

Répertoire d’histoires courtes (5 à 15 minutes):

Puis il y a ces souvenirs de voyages, une ils sont une vingtaines; des contes reçus sur la route, au Québec, en Bretagne, et entre les deux! Des « p’tites vites » qui sont des longs détour pour se parler de l’essentiel. Des trésors qu’on m’a offert et qui me permettent de repartir… en vous emmenant avec moi!

Capture lors d’une prestation à la Maison de la littérature de Québec. Crédit photo: Cath Langlois

Médias:

Mérite:

  • 2017 – Prix du mérite – volet communautaire de l’Association québécoise des interprètes du patrimoine (AQIP)

Affiliations:

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