La parole qui voyage
Puis un jour, moins d’un an plus tard, comme ça : on a cogné à ma porte. Lui. J’ignore combien de portes de maison le monde compte, mais ce jour là, c’est à la mienne qu’il cognait.
Puis un jour, moins d’un an plus tard, comme ça : on a cogné à ma porte. Lui. J’ignore combien de portes de maison le monde compte, mais ce jour là, c’est à la mienne qu’il cognait.